Cher éditeur, Le député Maxime Bernier agit de manière irresponsable en mettant la santé des membres de sa collectivité en péril. Il appuie un projet de loi qui réduira la surveillance de la salubrité alimentaire et apportera des coupures importantes à l'Agence canadienne d'inspection des aliments (ACIA).
Je regrette énormément le dérapage provoqué par certains propos d'autorités municipales dans le débat sur la desserte policière à Saint-Georges.
Saviez-vous que pour jouer au soccer à ville Saint-Georges nos enfants étaient évalués selon le porte-feuille des parents et non sur leur talent ?
Afin de justifier la volonté du gouvernement conservateur de couper le programme de la Sécurité de la vieillesse, le député conservateur, Maxime Bernier, a affirmé que cette démarche s'inscrit dans le but de protéger le programme et il a affirmé qu' « avec le vieillissement de la population et l'espérance de vie prolongée, éventuellement nous devrons analyser le programme » (Edition Beauce, 31 janvier 2012). Rien ne pourrait être plus faux !
Je suis toujours surpris de constater dans les médias comment des professionnels en santé mentale, des avocats et des défenseurs des droits des personnes atteintes de maladies mentales peuvent déformer volontairement mes propos pour défendre le statut quo, cette fois-ci dans le dossier des meurtres intrafamiliaux commis par des personnes ayant de sérieuses problématiques de santé mentale.
Le drame de Saint-Romain fait ressurgir de manière brutale le préjugé qu'une personne qui vit un problème de santé mentale est violente et dangereuse. Cela amène certaines personnes à affirmer que la seule façon de contrôler ces gens-là, c'est de les forcer à prendre la médication qui leur est prescrite.