10/24/2007 3:34:40 PM
La Table de concertation des aînés de Beauce-Sartigan vient de dévoiler hier matin les noms des trois candidates auxquels on rend hommage en 2007. Il s’agit de Madame Alfreda Quirion de St-Gédéon-de-Beauce, de Madame Cécile Rancourt Champagne de St-Martin, de Madame Cyprienne Morin Morissette de St-Georges et de Monsieur Jos-Marie Marois de St-Éphrem-de-Beauce. Le certificat reconnaissance qui leur sera remis pour souligner leur contribution sociale et leur engagement direct ou indirect auprès des aînés viendra officialiser cet hommage.
Pour une deuxième année consécutive, son conseil d’administration veut souligner publiquement la contribution significative, dans leurs milieux respectifs, de personnes aînées du territoire à l’amélioration du bien-être et de la qualité de vie des plus vulnérables, ainsi que leur engagement social marquant, parfois jusqu’à un âge avancé, au sein d’organisations diversifiées.
Un appel de candidatures a donc été lancé en mars 2007 auprès des organismes qui rejoignent des personnes aînées impliquées à des degrés divers dans leur communauté en Beauce-Sartigan et qui ont, par leur engagement citoyen, participé à l’enrichissement de la vie collective et à l’amélioration directe ou indirecte de la condition des aînés.
Dans la foulée de la Journée internationale des personnes aînées tenue en 2007 sous le thème «La force de l’âge c’est de vivre son âge», nous reprenons à nouveau les mots, pour l’occasion, du président du Conseil des aînés du Québec, Monsieur Georges Lalande : «Avancer en âge est un privilège dont il importe d’en retirer l’essence à chaque étape de la vie, d’en savourer la substance, d’y dégager les savoirs accumulés et d’en faire don à tous les membres de sa communauté ».
En ces temps de débats publics sur les impacts du vieillissement où bien des préjugés ont cours à l’égard des personnes aînées, nous renouvelons, pour conclure, notre récent appel à la mobilisation locale en vue de reconnaître leur apport significatif, à la vie et au développement de nos communautés, par des réflexions, des démonstrations de leur savoir-faire et des échanges entre les générations. L’exercice ne peut être que salutaire et revitalisant.
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