Ce dimanche 17 avril, au Musée Marius-Barbeau de Saint-Joseph-de-Beauce, a été lancé le roman « Viauville : Chronique des années 50 » de Michel Gagnon. Paru aux Éditions du Trèfle à quatre feuilles, le livre est une réelle incursion dans les souvenirs d'enfance de l'écrivain, depuis sa naissance jusqu'à l'âge de 15 ans.
Ce dimanche 17 avril, au Musée Marius-Barbeau de Saint-Joseph-de-Beauce, a été lancé le roman « Viauville : Chronique des années 50 » de Michel Gagnon. Paru aux Éditions du Trèfle à quatre feuilles, le livre est une réelle incursion dans les souvenirs d’enfance de l’écrivain, depuis sa naissance jusqu’à l’âge de 15 ans.
« C’est un témoignage sans prétention que je vous invite à savourer jusqu’à la lie », a lancé l’écrivain Michel Gagnon, après avoir fait la lecture de l’avant-propos de son livre. Celui-ci raconte en une trentaine d’histoires courtes le récit d’une enfance heureuse, alors qu’il vivait dans le quartier de Viauville, à l’Est de Montréal. Naturellement, certains noms ont été changés afin de ne pas compromettre la réputation de ces personnes impliquées dans différents événements compromettants du passé.
L’écriture de ce roman a commencé lorsque l’auteur avait pris sa retraite à l’âge de 65 ans, soit il y a 7 ans. À cette époque, il avait également choisi de quitter l’Outaouais afin de venir s’établir à Saint-Joseph-de-Beauce. « J’avais besoin de retourner à mes sources », dit-il, en soulignant que l’exercice « s’est fait tout seul » en moins d’un an. Il hésitait cependant à le présenter à un éditeur. Notons que depuis, M. Gagnon a écrit 4 autres romans (et travaille sur un 5e) qui risquent fortement de se retrouver sous presse prochainement.
Selon son éditeur Michel Jacques, les textes du roman sont savoureux au point qu’il soit impossible de les lire sans avoir un sourire au coin des lèvres. Notamment, M. Jacques a employé les adjectifs « oxygéné », « truculent », « spontané » et « pétillant » pour qualifier le style de l’auteur. « Merci de nous avoir livré ton passé et de nous faire communier ce que tu es », a-t-il adressé à l’écrivain.
Le livre est en vente au coût de 15 $ à la boutique Écono, à la Pharmacie Proxim et au Musée Marius-Barbeau à Saint-Joseph, au Copie Extra et chez Twist à Sainte-Marie, ainsi qu’au magasin Archambault de Saint-Georges.