Décidément, le tourisme a tendance à se développer en Beauce. Il y a seulement 20 ans, on considérait le tourisme comme une industrie de troisième catégorie, sinon pire encore. On n’y attribuait peu ou pas d’argent et on ne retirait, comme conséquence, que peu ou pas de retombées. La Beauce était alors connue comme le Japon du Québec, mais certainement pas comme un site méritant une visite, sauf pour ses bars et son « nightlife ».
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