La première de couverture de Voyages, réflexions et balivernes, le quarante-deuxième titre paru aux Éditions du Mécène, montre un vitrail renfermant plusieurs éléments différents et n’entretenant pas de lien entre eux, illustrant ainsi la nature même de l’ouvrage : hétéroclite, discontinu, s’écartant volontiers de tout récit de voyage dit « standard ». Ces remarques ne s’avèrent toutefois pas négatives : elles mettent plutôt en relief la singularité de l’ouvrage, qui se démarque de toute une tradition de récits de voyages rendus par une narration linéaire relatant la suite logique des événements survenus.
(texte complet)